« Je suis étonné de la passivité de ces habitants et de la mienne. J’avais demandé à un restaurateur de ma rue si les gens n’avaient pas créé une association pour se défendre mais il m’avait dit n’être au courant de rien. Je l’avais d’autre part senti réticent à en dire davantage, comme s’il craignait de prendre position en tant que commerçant ». Habitant, retraité, avenue de la Vallombreuse
« Je préfère garder l’anonymat avec les gens peu recommandables gravitant autour de la Blécherette ». Habitant du quartier de Montelly