Alors que l’urgence climatique est largement reconnue et que l’humanité est à l’aube de retombées climatiques cataclysmiques, selon un rapport du GIEC (juin 2021) https://www.20min.ch/fr/story/lhumanite-a-laube-de-retombees-climatiques-cataclysmiques-766085491849 , le « coup de coeur » (juin 2021) d’HeliLausanne est de proposer une fondue et un apéritif https://www.heli-lausanne.ch/produit/coup-de-coeur/ pour seulement 1’380 CHF, en dérangeant à peine quelques dizaines de milliers d’habitants de Lausanne et des environs.
La pollution par kilomètre parcouru et par personne est très importante. C’est incohérent d’imposer des restrictions aux automobilistes afin de préserver la ville et ses habitants et de laisser quelques personnes, qui la plupart n’habitent pas à Lausanne, polluer les lausannois par le bruit et des émissions toxiques.
Les principaux polluants des avions sont les oxydes d’azote (NOx=NO2+NO), le monoxyde de carbone (CO), des hydrocarbures imbrûlés (HC) et composés organiques volatiles (COV) dont le benzène, des suies – vocable retenu par l’industrie pour les particules fines (PM), du dioxyde de soufre (SO2), de la vapeur d’eau (H20), du dioxyde de carbone (CO2) et enfin l’ozone (O3), non émis directement, mais résultant de réactions photochimiques entre les NOx, HC et COV.